Quand le ciel bas et lourd pèse comme un couvercle… Il y a des soirs comme ça, ou viennent les idées noires, le spleen de Baudelaire. Et comme dans sa tête on est seul, et que trop de pensées affluent, on voudrait se reposer sur quelqu’un, se laisser flotter sur la vague.
Alors un peu de tendresse, de chaleur, de silence réconfortant, seraient les bienvenus. Le besoin d’une amitié simple et sincère, en somme.
Entre un homme et une femme ce n’est pas toujours très bien compris, ni très simple, ni très clair.
Paroles : Hervé Bargy / Musique : Gérald Renard
Invité : Gérald Renard à la guitare
J’aurais aimé ce soir
Me coucher près de toi
Gommer mes idées noires
Te prendre dans mes bras
Pas besoin de parler
A quoi bon, tu le sais
Juste laisser aller
Dériver nos pensées
Douce est la solitude
Belle est la liberté
Mais triste est l’habitude
Même dans l’amitié
J’aurais aimé ce soir
Me coucher près de toi
Gommer mes idées noires
Te prendre dans mes bras
Loin des regards amers
Qui s’écoutent pleurer
Le sourire est dans l’air
Et on peut l’attraper
Tu arrives à comprendre
Sans jamais me juger
Ces sentiments si tendres
Sont souvent mélangés
J’aurais aimé ce soir
Me coucher près de toi
Gommer mes idées noires
Te prendre dans mes bras
Pas besoin de parler
A quoi bon, tu le sais
Juste laisser aller
Dériver nos pensées
Douce est la solitude
Belle est la liberté
Mais triste est l’habitude
Même dans l’amitié
J’aurais aimé ce soir
Me coucher près de toi
Gommer mes idées noires
Te prendre dans mes bras