Le vent du désert
Lève les mystères
Mais elle est amère
Elle aime se taire
Main sur le menton
Ell’ sourit un peu
Elle a le bourdon
S’en remet à Dieu
Mais qu’attendre, quoi comprendre,
Tant de mal pour si peu
La Rouge éthérée se décompose
Son regard est vivant vaguement
Impassible, insensible, elle attend
La fin des tourments
Vivre libre !
La vieille peinture
Part avec le temps
Comme une brûlure
Douleur qui s’étend
Je suis auprès d’elle
Et je l’accompagne
Je suis épris d’elle
Mais elle s’éloigne
Mais qu’attendre, quoi comprendre,
Tant de mal nous condamne
La Rouge éthérée se décompose
Son regard est vivant vaguement
Impassible, insensible, elle attend
La fin des tourments
Vivre libre ! Impossible ! Elle attend
Aura-t-elle le temps,
De vivre libre… ?